« J’adore le désert. Quand j’ai traversé l’Est iranien, j’ai passé un mois dans le désert entre Téhéran et Quetta, après avoir laissé derrière moi ces villes admirables qu’étaient Chiraz et Isphan. Ce qui m’a particulièrement frappé, c’était que le ciel était une véritable joaillerie, comme un bol posé sur ma tête et décoré par un gemmologue. »
Nicolas Bouvier, « Routes et déroutes », Editions Metropolis, page 176
Accès au site